mercredi 23 juillet 2014

Une petite bière bien fraîche ça vous dit ?

Et si une bière pouvait rester fraîche pendant 30 minutes ? Ce serait le rêve de bon nombre de festivaliers et supporters sportifs ! Ce rêve est devenu réalité pour de nombreux canadiens au Stade Dodgers de Toronto, grâce à une nouvelle tireuse à « bière glacée ». On doit cette innovation au brasseur nippon Asahi, qui s’est inspiré des machines à yaourt glacé. En 10 secondes, la machine génère une mousse glacée qui vient se déposer ensuite sur le dessus de la bière la gardant très fraîche pendant une demi-heure. Pas sûr que les amateurs de mousse attenderont aussi longtemps pour la boire !



TheTrendyGirl

mercredi 16 juillet 2014

Coup de coeur musical du jour : Postmodern Jukebox!


Je vous laisse apprécier 
We Can't Stop - Vintage 1950's Doo Wop Miley Cyrus Cover ft. The Tee - Tones


Et bien d'autres magnifiques reprises à découvrir ici : Postmodern Jukebox

dimanche 13 juillet 2014

La mode des vélos en bois

Installé à l’avant ou à l’arrière, le traditionnel panier à vélo en métal laisse peu à peu sa place aux anciens paniers en bois, façon cagette améliorée. En pin, ou plus noble en noyer comme ces modèles canadiens homemade, ces paniers sont élégamment sanglés avec des boucles en cuir, le rendant ainsi facilement amovible. 

Retour aux origines, mouvement écologiste, défi technique, ou simplement naissance d’une nouvelle mode…
Le bois est de nouveau un matériau très utilisé dans le monde du vélo.
De la simple sonnette au vélo complet en passant par les pédales, on le retrouve partout. Enfin presque, le métal est difficilement substituable pour certaines pièces, comme la transmission par exemple.

Certaines marques sont spécialisées dans la fabrication de vélos entièrement en bois. 
Renovo Bicycles –> ici le bois remplace le carbone pour tailler en majorité de beaux vélos de course (à voir, collaboration avec Audi).

Connor –> de bons vélos rapides urbains…

Et dernièrement, le nombre de fabricants de cintres en bois a considérablement augmenté. Voir le lien vers l’article sur Fixiesinglespeed.com.

vendredi 11 juillet 2014

Knack d'Alsace ; la vérité sur les saucisses

Cinq ans, c’est le temps qu’il aura fallu aux artisans charcutiers pour obtenir une Indication Géographique Protégée « Knack d’Alsace ». Mais ce label « IGP » ne sera inscrit sur les emballages qu’après un passage devant la Commission européenne, prévu en 2015.

Produit phare de la charcuterie alsacienne, la knack c’est près de 6000 tonnes de saucisses produites chaque année. Seulement, les non-initiés la confondent parfois avec la « knacki » de Herta. Et cela agace Jacqueline Riedinger-Balzer, charcutière et présidente de la corporation des bouchers-charcutiers du Bas-Rhin :
« La knack, c’est un véritable savoir-faire, des ingrédients et une recette. On ne pouvait pas se laisser faire face à l’industrie ! »

D’autant que depuis 2008, la charcuterie alsacienne connaît des moments difficiles. Entre restructuration et plans de redressement, les professionnels du secteur pâtissent de la hausse du coût de production, principalement dû à la flambée des matières premières dont le porc. Ils sont donc passés à l’offensive, décidés à protéger « leur » knack d’Alsace avec une indication géographique protégée, ou IGP.

Protéger la knack alsacienne de la knacki

Déjà en 1997, Alsace Qualité, structure qui accompagne les producteurs dans leurs démarches de labellisation, avait engagé une réflexion sur la protection de la charcuterie d’Alsace avec les industriels et les artisans-charcutiers de la région. Pour augmenter les chances de labellisation, un seul produit 100% local et pérenne devait ressortir de ces longues années de discussion : la knack traditionnelle. Les artisans-bouchers tentent alors de répondre à la question principale : qu’est-ce qui rend unique cette saucisse ?

Jacqueline Riedinger-Balzer détaille la démarche :
« C’est un peu comme une histoire que l’on déroule. Il nous fallait prouver que la knack avait toujours fait partie du paysage alsacien. Comme la bière, c’est un élément fort du patrimoine. On s’est inspiré du code des usages de la charcuterie déjà en vigueur. La knack d’Alsace, c’est une alliance de viande de boeuf (7%) et de porc (30%) embossée dans un boyau de mouton fumé au bois de hêtre. Sa pâte est fine et homogène, résultat d’une technique spécifique qu’on ne trouve qu’en Alsace. La knack doit aussi faire entre 2 et 30 cm de longueur et être incurvée. Enfin, son nom vient du bruit qu’elle doit faire quand on la croque, ça s’appelle le “knackant”. »

Pour Céline Cabanel, chargée de mission chez Alsace qualité et animatrice de l’APCA, il était important de promouvoir la knack d’Alsace comme spécificité du territoire et ainsi éviter que le terme ne devienne générique, à l’instar de la saucisse de Strasbourg, qui n’a de Strasbourg que le nom pal /øøørfois :
« Cela permet de protéger un produit avant qu’il ne soit trop tard. L’idée est aussi de permettre à la knack d’Alsace de rayonner ailleurs qu’en France, au niveau européen. »

Un cahier des charges très strict

Dans ce dossier, il a donc fallu justifier de la recette et l’antériorité de la knack. En bref, expliquer pourquoi cette recette vient du territoire et de nulle part ailleurs. L’Association pour la Promotion de la Charcuterie Alsacienne, dont les membres produisent 4 700 des 6 000 tonnes annuelles de knack, épaulée par Alsace Qualité, s’atèle à la tache, données biographiques à l’appui et recherches historiques tous azimuts. En 2009, ils déposent leur demande d’IGP pour la knack d’Alsace auprès de l’institut national de l’origine et de la qualité (Inao), sous tutelle du ministère de l’agriculture. Il s’agit d’un premier projet de cahier des charges.

Vient ensuite la phase d’instruction, la plus longue, pendant laquelle les services de l’Inao étudient le dossier dans ses moindres détails. Certaines étapes de la recette ont dû être décrites plus précisément. L’Alsace ne comptant que peu d’élevages de porcs, l’origine de la viande a constitué le premier écueil du dossier. Mais comme l’IGP reconnaît un produit donc les caractéristiques sont liées au lieu géographique dans lequel se déroule sa production ou sa transformation, et non les deux comme c’est le cas pour l’AOP (appellation d’origine protégée), la matière première n’a pas besoin de provenir d’Alsace.Le choix des produits implique néanmoins des critères techniques bien définis, comme les parties de l’animal utilisées.
Cahier des charges de la « Knack d’Alsace » approuvé par le ministère de l’agriculture


source ; Rue89 Strasbourg

mercredi 9 juillet 2014

13.000 vidéos de concerts mises en ligne sur YouTube

Si vous n'avez pas envie de chercher ce que vous devez écouter aujourd'hui, une chaîne YouTube lancée il y a quelques semaines va vous aider. Plus de 13.000 vidéos de concerts enregistrés sur les cinquante dernières années viennent en effet d'être mises en ligne sur le compte Music Vault, rattaché au site du même nom. 

Music Vault est une création de Wolfgang’s Vault, un temple des archives musicales qui devient aujourd'hui accessible à tous. Après avoir essayé de lancer une plateforme payante, Concert Vault, le fondateur Bill Sagan a conclu un partenariat avec YouTube, rapporte le magazine Rolling Stone. 
Le compte, lancé il y a quelques semaines, est une mine d'or. Il y a des légendes du rock, du jazz, de la pop… Lou Reed, Bob Dylan, James Brown, Bruce Springsteen, Blondie, Patti Smith, les Grateful Dead, les Rolling Stones et beaucoup d'autres. Les playlists sont bien organisées, par artiste, par concert (comment ne pas vous recommander celle consacrée aux femmes dans le rock?). 

Il faut chercher un peu, le son n'est pas toujours propre, mais c'est encore la meilleure façon de découvrir ou de réécouter des classiques. Ceux qui ne savent pas comment se construire une culture musicale n'ont plus d'excuse...

Bob Marley en 1979: No woman, no cry ;


U2 - I Will Follow - 05/15/81 ;



Slate.fr

jeudi 3 juillet 2014

Salut Salon; coup de coeur du jour !



Salut Salon ; mon coup de coeur "girl power" du jour... Trop fortes !


et pour en savoir plus... 
(pour les germanophones)